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Temps pour les revues…

Je ne lis pas des tonnes et des tonnes de revues culinaires, mais celle que j’achète, j’y tiens et j’y fais toujours de belles découvertes. Le problème, c’est le manque de temps pour explorer les recettes et essayer tout ce qui me fait envie avant que le prochain numéro arrive. Par moment, des publications moins nombreuses par année me rendraient bien service.

Aujourd’hui, je vous propose une recette pour le déjeuner : un pain au son et aux raisins. J’ai trouvé cette recette dans le magazine Ricardo volume 14, numéro 2.

Pain au son et aux raisins
Pain au son et aux raisins
Pour 10 personnes

¾ tasse ou 105 g de farine
⅓ de tasse ou 80 g de cassonade ou de sucre roux
1¼ tasse ou 75 g de son de blé*
1½ cuillère à thé de poudre à pâte ou de levure chimique
1 cuillère à thé de bicarbonate de soude ou de sodium
¼ cuillère à thé de sel
1¼ tasse ou 310 g de babeurre**
⅓ de tasse ou 70 g d’huile de canola ou de colza
1 oeuf
¾ de tasse ou 100 g de raisins secs***

Préchauffer le four à 180°C (350°F). Beurrer et chemiser de papier parchemin un moule rectangulaire d’environ 25 cm par 10 cm (10 pouces par 4 pouces) ou un moule d’un contenance de 1,5 litre ou de 6 tasses.

Dans un grand bol, mélanger la farine, la cassonade (ou le sucre roux), le son de blé, la poudre à pâte (ou la levure chimique), le bicarbonate et le sel.

Dans un autre bol, fouetter le babeurre avec l’huile et l’oeuf. Verser les ingrédients liquides sur les ingrédients secs. Mélanger brièvement, juste pour que les ingrédients secs soient humectés. Réserver 1 cuillère à soupe de raisins secs et ajouter le restant de raisins secs dans la pâte. Mélanger une dernière fois, toujours brièvement, la pâte.

Verser la pâte dans le moule. Répartir les raisins réservés sur le dessus de la pâte. Enfourner et cuire pendant 40 minutes ou jusqu’à ce qu’un cure-dent inséré au centre du pain en ressorte propre. Laisser totalement refroidir avant de démouler. Couper et tranche et déguster le matin au déjeuner avec gourmandise.

*Vous pouvez remplacer le son par un autre; j’ai utilisé du son d’avoine.
**Si vous n’avez pas de babeurre (lait de beurre, lait de ribot, etc.), utilisez la même quantité de lait et ajoutez 1 cuillère à soupe de vinaigre ou de jus de citron.
***Il est possible de remplacer les raisins secs par un autre fruit séché, des noix ou du chocolat.

Et vous, avez-vous le temps d’explorer comme vous le voulez vos magazines culinaires avant la sortie du prochain numéro?

Confiture en décembre

Habituellement, je prépare mes confitures pour le temps des fêtes pendant les récoltes. Cependant, il y en a été autrement cette fois. C’est au dernier moment que j’ai préparé mes dernières confitures. Il y en a une qui me tenait particulièrement à coeur : une confiture de pommes. La raison pour laquelle je voulais absolument préparer cette confiture est simple : j’avais déjà planifié de la faire l’année dernière! Et oui, le manque de temps m’avait contrait à la remettre à plus tard.

Le résultat est superbe. J’imagine très bien cette confiture dans un gâteau (pourquoi pas une bûche de Noël?), dans une tarte avec une ganache, avec du foie gras, etc. Cette belle gourmandise est tirée du livre Les conserves selon Camilla de Camilla Wynne.

Confiture comme des pommes au four
Confiture comme des pommes au four
Pour 4 ou 5 pots de 250 ml

1,2 kg de pommes (7 ou 8 pommes)
1½ tasse ou 300 g de sucre
1¼ tasse ou 265 g de cassonade ou de sucre roux
3½ cuillères à soupe ou 50 g de jus de citron
1 gousse de vanille
½ tasse ou 100 g de raisins secs
3½ cuillères à soupe ou 50 g de rhum brun*
1 cuillère à thé de cannelle moulue**
¾ de tasse ou 150 g de noix de Grenoble

Éplucher, épépiner et couper en juliennes (ou couper aussi finement que possible) les pommes. Dans un grand chaudron (à fond épais de préférence), déposer les pommes et ajouter le sucre, la cassonade (ou le sucre roux) et le jus de citron. Couper la gousse de vanille en deux, gratter les grains et ajouter le tout aux pommes. Chauffer la préparation à feu moyen-élevé jusqu’à ce que le mélange bouille. Retirer le chaudron du feu et transvider le contenu dans un bol. Découper un cercle de papier parchemin et le poser directement sur la préparation de pommes pour la recouvrir totalement. Placer le bol contenant les pommes au réfrigérateur pendant une nuit ou 12 heures.

Après avoir mis les pommes au réfrigérateur, mélanger dans un bol les raisins secs et le rhum. Laisser reposer à température ambiante jusqu’au moment de les utiliser.

Le lendemain, hacher grossièrement les noix de Grenoble.

Remettre la préparation de pommes dans le chaudron. Porter de nouveau le mélange à ébullition. Quand le mélange bout, ajouter la cannelle et les raisins secs trempés dans le rhum. Porter de nouveau à ébullition et laisser mijoter pendant 5 minutes. Incorporer les noix de Grenoble. Poursuivre la cuisson jusqu’à ce que la confiture soit prise.

Vérifier la cuisson en déposant 1 cuillère à thé de confiture dans une des assiettes réservées au congélateur. Remettre l’assiette au congélateur pendant 2 minutes. Pousser la confiture avec un doigt et si elle forme des rides, c’est qu’elle est prête. Sinon, poursuivre la cuisson et répéter le test jusqu’à ce que la confiture atteigne le point de gélification. La confiture aura une consistante différente des confitures traditionnelles : on cherche à obtenir un sirop très épais constitué principalement de fruits.

Quand la confiture est prête, la retirer du feu et la laisser reposer pendant 5 minutes en remuant à quelques reprises. Retirer les gousses de vanille et mettre dans des pots stérilisés***, si désiré, en laissant 6 mm (¼ de pouce) d’espace sous le goulot. Stériliser ensuite les pots pendant 5 minutes dans de l’eau bouillante. Déguster au moment désiré.

*Vous pouvez faire réhydrater les raisins secs dans du thé ou simplement de l’eau chaude si vous ne voulez pas employer de rhum. Dans ce cas, égouttez vos raisins avant de les ajouter à la confiture.
**Si possible, utilisez de la cannelle fraîchement moulue.
***Pour la méthode de stérilisation, je vous propose de lire cet article ou celui-ci. Si vous ne voulez pas stériliser vos pots, les conserver au réfrigérateur et les déguster rapidement ou les congeler, mais je n’ai aucune idée de l’incidence de la congélation sur le goût et la texture de la confiture.

Et vous, avez-vous déjà préparé de la confiture en décembre?

Enrichir…

Récemment, j’ai consulté mon index par catégorie et j’ai été surprise de constater qu’il y avait aussi peu de recettes dans la section pain et viennoiserie. Étonnant, quand on sait que je cuisinais un pain à toutes les semaines… Ce temps est un peu révolu, mais j’espère bien reprendre cette habitude.

Question d’étoffer un peu cette section, je vous propose une viennoiserie : des escargots. Cette recette est tirée du livre Pâtisserie! L’ultime référence de Christophe Felder.

Escargots aux raisins et aux noix
Escargots aux raisins et aux noix
Pour 12 à 15 pains

Pâte
1½ tasse ou 187 g de farine
1 cuillère à soupe ou 12 g de sucre
1 cuillère à thé ou 4 g de sel
3¼ cuillères à thé ou 7 g de lait en poudre
2 cuillères à thé ou 6 g de levure sèche*
½ oeuf ou 1 petit oeuf
¼ de tasse ou 57 g d’eau
⅔ de tasse ou 145 g de beurre non salé, tempéré

Crème pâtissière**
1 tasse ou 250 g de lait
1 cuillère à thé de beurre non salé
½ gousse de vanille ou 1 cuillère à thé d’extrait de vanille
2 jaunes d’oeufs
¼ de tasse ou 50 g de sucre
8 cuillères à thé ou 20 g de fécule de maïs (maïzena)
1 cuillère à soupe de farine

Garniture
½ tasse et 1 cuillère à soupe ou 100 g de raisins secs***
6 cuillères à soupe ou 50 g de noix de Grenoble concassées****

Dorure et finition
¼ tasse ou 50 g de sucre
3 cuillères à soupe et 1 cuillère à thé ou 50 g d’eau
1 cuillère à soupe d’eau de fleur d’oranger
1 oeuf
1 jaune d’oeuf

Pâte
Dans un bol, verser la farine, le sucre, le sel, le lait en poudre et la levure. Ajouter l’oeuf et l’eau. Avec les mains, mélanger les ingrédients. Quand la pâte est homogène, ajouter 1½ cuillère à soupe ou 20 g de beurre (réserver le reste de beurre au frais). Toujours à la main, malaxer la pâte jusqu’à ce que la pâte soit homogène. Envelopper la pâte d’une pellicule plastique et réfrigérer la pâte pendant 90 minutes.

Sur un plan de travail légèrement enfariné, abaisser la pâte pour former un rectangle plus long que large d’environ 6 mm (¼ de pouce) d’épaisseur. Déposer le beurre refroidi entre deux morceaux de pellicule plastique et l’étaler pour qu’il puisse recouvrir la moitié de la pâte. Déposer le beurre sur la moitié inférieure de la pâte. Recouvrir le beurre avec la partie supérieure de la pâte; le beurre doit être totalement enveloppé par la pâte. Tourner la pâte d’un quart de tour. Dans le sens de la longueur, étaler la pâte sur une épaisseur de 6 à 7 mm (¼ de pouce). Replier la partie inférieure de la pâte au deux tiers de la longueur de la pâte. Replier la partie supérieur pour qu’elle touche la partie précédemment pliée. Plier le rectangle obtenu en deux sur lui-même pour arriver à quatre couches de pâte qui se superposent. Envelopper la pâte dans une pellicule plastique et la réfrigérer pendant 35 minutes.

Sur un plan de travail légèrement enfariné, abaisser de nouveau la pâte sur une épaisseur de 6 à 7 mm (¼ de pouce). Plier un tiers de la pâte, puis l’autre tiers pour obtenir trois couches de pâte superposées. Emballer la pâte dans une pellicule plastique et laisser reposer au réfrigérateur pendant 1 heure.

Crème pâtissière
Dans un chaudron, verser le lait et le beurre. Ajouter la demie gousse de vanille fendue en deux ainsi que les grains de vanille grattés ou l’extrait de vanille. Faire chauffer le mélange.

Dans un bol, fouetter les jaunes d’oeufs avec le sucre. Quand le mélange a pâli, incorporer la fécule de maïs (maïzena) et la farine. Retirer la gousse de vanille du lait. Verser le liquide chaud sur la préparation de jaunes d’oeufs et de sucre en fouettant constamment. Remettre le mélange dans le chaudron et chauffer à feu moyen en brassant sans arrêt jusqu’à ce que la crème épaississe. Verser la crème dans un bol, couvrir de film plastique et réserver au réfrigérateur.

Montage
Toujours sur un plan de travail légèrement enfariné, abaisser la pâte sur une épaisseur de 4 mm (⅛ de pouce). Verser la crème pâtissière sur la pâte et l’étaler uniformément en laissant sur une des longueurs un espace de 1,5 cm (⅝ de pouce) sans crème. Mélanger les raisins et les noix, puis saupoudrer sur la crème. Avec les mains ou un rouleau à pâtisserie, appuyer sur les fruits pour les enfoncer légèrement dans la crème. Badigeonner l’espace sans garniture d’un peu d’eau. Rouler la pâte sur elle-même en commençant par le côté opposé à celui qui vient d’être humidifié. Rouler en serrant le plus possible la pâte et terminer en roulant sur la partie humidifiée pour le sceller. Déposer le rouleau de pâte sur une planche à découper et réserver pendant 30 minutes au congélateur.

Quand la pâte a légèrement durci, la couper en rondelle d’environ 2 cm (¾ de pouce) de large. Déposer les rondelles de pâte sur une (ou plusieurs) plaque de cuisson recouverte de papier parchemin en les espaçant bien. Couvrir lâchement d’une pellicule plastique et laisser lever pendant 2 heures 30 à température ambiante.

Pendant que les viennoiseries lèvent, préparer le sirop. Verser le sucre et l’eau dans un chaudron. Porter à ébullition. Dans que la préparation boue, retirer le chaudron du feu et laisser tiédir. Ajouter l’eau de fleur d’oranger et réserver.

Préchauffer le four à 180°C (350°F).

Dans un petit bol, fouetter le jaune d’oeuf et l’oeuf jusqu’à ce que le mélange soit homogène.

Retirer la pellicule plastique des escargots. S’ils se sont légèrement déroulés en levant, glisser l’extrémité sous la viennoiserie. Badigeonner les escargots avec la préparation d’oeufs et enfourner. Cuire pendant 12 à 15 minutes ou jusqu’à ce qu’ils soient bien dorés. À la sortie du four, badigeonner de sirop les escargots. Laisser tiédir avant de déguster.

*Il est possible d’utiliser de la levure fraîche. Dans ce cas, il faut 2½ cuillères à thé ou 12 g de levure fraîche.
**Il y aura un peu trop de crème pâtissière. Réserver le surplus pour réaliser des tartelettes ou des verrines.
***Si vous le désirez, utilisez un mélange de différents types de raisins secs.
****Il est possible de remplacer les noix et les raisins secs selon les envies : canneberges séchées, bleuets, noisettes, amandes, pépites de chocolat, etc.

Et vous, boulangez-vous régulièrement?

L’élan granola…

Il s’est un peu essoufflé. J’ai recommencé à varier mes plaisirs du matin, mais il y a toujours un pot de granola dans ma cuisine et ça ne risque pas de changer. Une de mes dernières découvertes est le granola au beurre d’arachide. Je ne suis pas une grande amatrice de beurre d’arachide sur une tranche de pain, mais je l’adore quand il est cuisiné.

La recette que je vous propose aujourd’hui est issue du site Flavor the Moments.

Granola aux arachides
Granola au beurre d’arachide
Pour 550 g ou 4½ tasses

2 tasses ou 250 g de flocons d’avoine*
1 tasses ou 35 g de riz soufflé (style Rice Krispies)
2 cuillères à soupe de germe de blé (facultatif)
1 cuillère à soupe de cacao non sucré
½ cuillère à thé de cannelle moulue
¼ cuillère à thé de sel**
2½ cuillères à soupe d’huile de colza (ou de canola)
¼ de tasse ou 82 g de miel
¼ de tasse ou 60 g de beurre d’arachide croquant ou non
1 cuillère à soupe de sirop d’érable
1 cuillère à thé d’extrait de vanille
½ tasse ou 90 g de raisins secs***

Préchauffer le four à 160°C (325°F).

Dans un grand bol, mélanger les flocons d’avoine, le riz soufflé, les germes de blé, le cacao, la cannelle et le sel. Réserver.

Dans un chaudron, verser l’huile, le miel, le beurre d’arachide et le sirop d’érable. Chauffer à feu moyen pendant 3 minutes ou jusqu’à ce que le mélange bouillonne. Retirer du feu et ajouter l’extrait de vanille. Verser la préparation liquide sur les ingrédients secs et bien mélanger.

Étaler le granola sur une plaque de cuisson recouverte de papier parchemin. Enfourner pendant 20 minutes ou jusqu’à ce que le granola soit doré. Pendant la cuisson, mélanger doucement à trois reprises le granola. Laisser totalement refroidir sur la plaque de cuisson.

Incorporer des raisins secs et conserver le granola dans des pots en verre ou une boîte métallique. Déguster avec gourmandise.

*Il est possible d’utiliser un mélange de divers flocons de céréales.
**Utilisez le sel de votre choix : fleur de sel, gros sel, etc.
***Remplacez les raisins par des canneberges séchées, des pépites de chocolat, etc.

Et vous, êtes-vous amateur de beurre d’arachide?

L’évolution de mes déjeuners

Depuis un certain temps, j’ai pris l’habitude de déjeuner avec du yogourt. J’alterne quand même un peu mes repas du matin, mais il y a une certaine routine qui s’est établie. Avant de déguster mon yogourt, j’ajoutais des graines de courges et des germes de blé. C’est une habitude que j’ai pris en séjournant dans les hôtels, sauf que le choix est plus vaste et que j’incorporais également des fruits. À la maison, je ne me compliquais pas la vie, je faisais simple et rapide. Depuis plusieurs mois, j’ai vu de nombreuses recettes de granola et au final, je n’ai jamais pris le temps d’en essayer une. C’est Mademoiselle B. qui a changé la donne avec le granola qu’elle m’a envoyé. Maintenant, plus question de mettre autre chose que du granola maison dans mes yogourts!

Un jour, je vous proposerais le délicieux granola à la cannelle de Mademoiselle B., mais comme j’ai fini mon pot avant de prendre une photo, il faudra attendre ma prochaine fournée. Aujourd’hui, je vous présente donc la deuxième recette de granola que j’ai réalisé : un granola au chocolat. J’ai pris cette recette sur le site Le Pétrin de Sandra.

Granola au chocolat
Granola tout chocolat
Pour 500 g ou 1 litre de granola

2 tasses ou 250 de flocons d’avoine à l’ancienne*
¾ de tasse ou 25 g de céréales Rice Krispies
5 cuillères à soupe ou 50 g de canneberges séchées
2 cuillères à soupe ou 25 g de raisins secs
2½ cuillères à soupe ou 25 g d’amandes,
  grossièrement hachées
1½ cuillère à soupe ou 10 g de cacao
1 pincée de sel
¼ de tasse ou 50 g de cassonade ou de sucre complet
2 cuillères à thé ou 8 g de sucre vanillé (facultatif)
3½ cuillères à soupe ou 50 g d’eau
4 cuillères à thé ou 15 g d’huile de coco ou de beurre**
3 cuillères à soupe ou 60 g de sirop d’érable ou de miel
80 g (3 onces) de chocolat noir ou au lait

Faire tremper les canneberges et les raisins dans de l’eau chaude (ou du thé) pendant 20 minutes***. Égoutter et réserver.

Hacher finement la moitié du chocolat, soit 40 g (1,5 once). Concasser plus grossièrement le restant de chocolat.

Préchauffer le four à 180°C (350°F). Chemiser de papier parchemin une plaque de cuisson.

Dans un grand bol, mélanger les flocons d’avoine, les céréales Rice Krispies, les canneberges réhydratées, les raisins réhydratés, les amandes, le cacao et le sel. Le cacao doit enrober tous les autres ingrédients.

Dans une chaudron, verser la cassonade (ou le sucre complet), le sucre vanillé, l’eau et l’huile de coco (ou le beurre). Porter à ébullition en brassant régulièrement. Quand le sucre est dissous et dès les premiers signent d’ébullition, retirer le chaudron du feu. Ajouter le sirop d’érable (ou le miel) et le chocolat haché finement (40 g ou 1,5 once). Mélanger jusqu’à ce que le chocolat soit totalement fondu.

Verser la préparation liquide sur les ingrédients secs et mélanger en veillant à ce que tous les ingrédients secs soient enrobés de la préparation liquide. Répartir le granola sur la plaque de cuisson et enfourner pendant 20 à 25 minutes. Mélanger le granola à deux ou trois reprises pendant la cuisson pour une cuisson plus uniforme. Laisser totalement refroidir sur la plaque de cuisson.

Incorporer les morceaux de chocolat et conserver le granola dans des pots en verre ou une boîte métallique. Déguster avec du yogourt, du lait, de la crème glacée, etc.

*Il est possible de remplacer les flocons d’avoine à l’ancienne par des flocons d’avoine à cuisson rapide (ou coupés) ou des flocons d’autres céréales. Si vous utilisez des flocons d’avoine à cuisson rapide, il faudra 2¼ tasses pour obtenir 250 g.
**Vous pouvez également utiliser une huile végétale à la place de l’huile de coco.
***Il est possible d’omettre cette étape. Dans ce cas, ajouter les fruits secs après la cuisson si vous désirez qu’ils restent tendres.

Et vous, comment agrémentez-vous vos yogourts?