Les envois internationaux

Chaque année, je requière à plusieurs reprises les services postaux pour envoyer des cartes et des colis à ma famille. J’ai aussi fait quelques envois du Québec vers la Suisse. Bref avec les années, je connais assez bien le fonctionnement de ces services. J’ai de la chance, les prix ont peu bougé du côté de la Poste suisse contrairement à Poste Canada. J’ai vraiment confiance en ces services postaux… tant qu’il s’agit d’envois par voie aérienne. Et oui, il existe aussi les envois par voie terrestre : un peu moins connu et aussi moins mis en avant par les services postaux. De Suisse, je n’ai jamais eu à m’informer sur ce service : il y a plutôt une notion de services postaux économiques ou prioritaires. Par contre, j’ai utilisé le service par voie terrestre de Poste Canada avant de venir m’établir en Suisse. Il est surtout recommandé pour des objets encombrants et les objets lourds. Il suffit de faire des estimations de coût pour un colis de plus de deux kilos pour voir la différence de prix. Par contre, les envois terrestre ont deux inconvénients : ils prennent plus de temps à se rendre et il y a plus de chance de se perdre.

Depuis le début d’année, je suis abonnée à deux magazines québécois qui me sont envoyé directement en Suisse. Malheureusement, les envois se font par voie terrestre. Pour un des deux, je le savais dès le départ et un magazine s’est perdu pendant la période des fêtes. Cette fois, c’est l’autre que je n’ai pas reçu et celui-là, je pensais qu’il m’était envoyé par voie aérienne. Bref, je trouve ça dommage d’attendre aussi longtemps (4 à 6 semaines) et de ne pas recevoir mes magazines, j’espère que ce genre de chose ne se reproduira pas… ou du moins rarement.

Après tout ce texte, je vous propose une recette avec peu d’ingrédients : du cabillaud enrobé de pomme de terre. J’ai pris cette idée dans le magazine Ricardo volume 14, numéro 1.

Cabillaud enrobé de pomme de terre
Cabillaud enrobé de pomme de terre
Pour 2 personnes

200 g de filet de cabillaud ou de morue*
2 grosses pommes de terre
Huile végétale en quantité suffisante
Sel et poivre

Éplucher les pommes de terre et les râper. Presser les pommes de terre entre les mains pour retirer un maximum d’eau.

Au besoin, couper le filet de poisson en deux pour avoir deux morceaux. Saler et poivrer les morceaux de poisson. Enrober les morceaux de cabillaud avec les pommes de terre. Avec le restant de pommes de terre, former des galettes.

Verser dans une poêle assez d’huile pour recouvrir le fond**. Faire chauffer l’huile. Vérifier que l’huile est bien chaude en déposant un petit morceau de pommes de terre : l’huile doit former des bulles autour de l’aliment.

Quand le corps gras est assez chaud, déposer les pavés de poisson et les galettes de pommes de terre. Cuire pendant 5 minutes de chaque côté ou jusqu’à ce que les pommes de terre soient bien dorées. Au besoin, ajouter de l’huile pendant la cuisson. Quand le tout est cuit, retirer de la poêle et déposer les morceaux de poisson ainsi que les galettes de pommes de terre sur un papier absorbant pour retirer l’excédent d’huile. Servir sans attendre et déguster avec plaisir.

*Au Québec, on nomme « morue » autant le poisson frais que le poisson séché. En Europe, la morue désigne le poisson séché et le cabillaud le poisson frais. Vous pourriez également prendre un autre poisson à chair blanche ou du saumon.
**Vous pourriez faire frire les morceaux de poisson dans une friteuse préchauffer à 180°C (350°F).

Et vous, avez-vous déjà eu recours aux envois terrestres?

2 commentaires

  1. Audrey 30 mai 2016

    Si ça peut te rassurer, je suis au Québec et je n’ai quand même pas reçu mon dernier magazine Ricardo. C’était la première fois. Je suis déçue. Par contre, je les ai contacté et ils m’en ont renvoyé un autre…

  2. Karine 30 mai 2016

    Je suis navrée pour toi. Je savais que c’était possible, mais ça ne m’est jamais arrivé pendant que mon abonnement était au Québec. Il est vrai que les bureaux de poste perdent de 2-3 % des envois chaque année.

    J’ai contacté les services aux abonnés et ils ont été courtois dans les deux cas, mais c’est toujours embêtant d’y recourir. À l’étranger Ricardo propose soit de prolonger l’abonnement, soit de le renvoyer à une adresse au Canada.

    Bonne journée Audrey

Laisser un commentaire

* :

: